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| Sujet: •• monika ricci ; 100% Mer 11 Fév - 0:51 | |
| MONIKA RICCI, ft. Leighton Meester « Vos papiers, s’il vous plait… »
Nom : Ricci Prénom : Monika Date de naissance : 9 juin 1988 Lieu de naissance : Paris, France Etat civil : Célibataire Casier judiciaire vierge : Oui {x} Non {} Groupe : Fêtard
« Hey, on veut en savoir plus ! »
Caractère : Concernant Monika Ricci, avant de dire « l'habit ne fait pas le moine, » il faudra réfléchir à deux fois. Elle vous donne l'impression d'être une parfaite petite peste qui ne pense qu'à son plaisir personnel ? Une gamine avec un ego surdimensionné, ou une croqueuse d'hommes ? Ne cherchez pas plus loin, c'est ce qu'elle est. Mais avant, surtout et par-dessus toute chose, Monika est vivante. Elle croque la vie à pleines dents, vit au jour le jour, tente toutes sortes d'aventure, s'émerveille devant la plus naturelle des choses, fait des erreurs, en tire des leçons, ne regrette rien du tout, fait preuve d'enthousiasme et de bonne volonté la plupart du temps, n'a pas peur du ridicule, ne recule devant rien... et encore tellement de choses que s'il faut la décrire en deux mots, ce sera: pile éléctrique. Exactement comme elle en donne l'impression. Mais à côté de tout ce que vous voyez, de tout ce vous savez et de tout ce que vous devinez, il y a autre chose. Non seulement elle est pleine de vie, mais elle est aussi pleine de surprises. Imprévisible, comme le diront ses proches. Vous n'aurez pas idée des tempêtes qui se déchainent en elle alors qu'elle semble sereine et paisible comme un paysage... pas plus qu'il vous sera impossible d'estimer à quel point elle est concentrée alors qu'elle hurle, crie et s'excite sur tous ceux qui ont le malheur de croiser son chemin. Elle brouille les pistes, parce qu'elle le peut. C'est aussi simple que cela. Elle aime, elle déteste. Elle s'énerve, elle s'adoucit. Elle se bat, elle abandonne. Elle parle, elle se tait. Elle rit, elle pleure. Si vous tentez de la réduire à la petite gamine qui fait tout ce qui lui passe par la tête, vous aurez tout faux. Elle est ce que vous pensez d'elle, mais en même temps, elle est tellement plus !.. Sauf que Monika ne se décrira pas, ne se définira pas et ne se délimitera pas. Elle ne permettra pas non plus qu'on le fasse, d'ailleurs. Vous n'avez qu'à essayer, et vous verrez qu'au moment même où vous penserez l'avoir décodée, vous vous retrouverez face à une Monika Ricci qui surpasse de loin votre imagination la plus débordante. C'est ça, être une fille mouvementée. C'est ça, être Monika.
Physique : Décrire Monika Ricci comme étant une tornade brune ne serait qu'une métaphore on-ne-peut-plus adéquate. En effet, nombreux sont ceux qui se retournent sur le passage de la belle brune. Une taille élancée sans trop en faire, une corpulence normale avec les formes où il faut, une chevelure longue et brune qui tombe en cascade sur ses épaules fières... Il semblerait que la jeune Ricci ait été particulièrement gâtée par Mère Nature. Inutile de le nier: elle est d'une beauté frappante, et que ce soit ses petites mimiques marrantes ou son sourire à fossettes, il y a des tas de choses dans son attitude qui en rajoutent à son charme naturel. Une confiance en soi lui donne des airs de femme fatale, une passion pour la mode perfectionne son style à ravir... Mais ce qu'il y a de plus impressionnant chez la jeune femme, c'est l'étincelle immanquable de ses yeux. Comme le dit Claudel, il y a des yeux qui reçoivent la lumière et il y a des yeux qui la donnent. Ceux de Monika, d'une couleur difficile à définir par sa profondeur, font visiblement les deux. Tantôt pleins de malice, tantôt de rancune, ses yeux ne trahissent jamais ses sentiments. Pour autant que vous soyez un lecteur moyen, vous pourrez y lire à peu près tout ce qui se trame dans son esprit. Antoine de Saint-Exupéry disait: les yeux sont les fenêtres de l'âme. Celle-là, il ne faut pas chercher de midi à quatorze heures pour savoir qu'elle s'applique parfaitement à Monika.
Citez 5 choses qu’il faut savoir sur vous : » La jolie brune est lunatique. Abordez-là un jour, et vous serez charmé par son enthousiasme et sa bonne volonté. Cinq minutes plus tard, elle vous surprendra par son humeur à présent massacrante et ses répliques cinglantes.
» Contrairement à son humeur, son avis, lui, ne change jamais. Elle peut paraître indécise et hésiter longtemps avant de prendre une décision, mais une fois que celle-ci est prise, elle ne revient pas là-dessus.
» Elle n'est jamais tombée amoureuse.
» S'il y a un truc qu'elle ne supporte pas, c'est la routine. Il lui faut une vie pleine de rebondissements et d'action, un peu d'aventure, beaucoup de découvertes... Pas question de vivre selon une recette qu'on suit à la lettre. Imagination, life is your creation ! =P
» Consciente que la vie est une plaine de jeux, la brunette a tendance à faire ce qui lui plait, quand ça lui plaît. On pourrait voir en elle une gamine pourrie-gâtée, mais c'est loin d'être le cas. Capricieuse ? Pas du tout. C'est juste que si elle veut quelque chose, si elle se fixe un objectif, elle fait le nécessaire pour arriver à ses fins.
Pour vous Paris rime plutôt avec « culture », « bizness » ou « romantisme » ? Pour Monika, Paris rime plutôt avec vie. Une ville n'a pas seulement un seul aspect, mais c'est le mélange plus ou moins savoureux de toutes ses facettes qui fait d'elle ce qu'elle est. Quant à la capitale française, c'est un endroit où elle aime vivre. Il y a toujours de quoi s'amuser, un endroit où aller, une petite perle à découvrir dans chaque recoin de chaque ruelle. Paris is love, et ce n'est pas uniquement parce que c'est la capitale de l'amour. Son charme a-t-il opéré sur vous ? Ca vous plait ? La réponse à la question précédente devrait marcher ici aussi. Oui, le charme de Paris a opéré sur la belle brune, et pour rien au monde elle ne voudrait vivre ailleurs. Après tout, toute sa vie est ici, et la ville regorge de souvenirs pour elle. C'est comme un journal intime qu'elle relit chaque jour en même temps qu'elle écrit de nouvelles entrées. Quelles sont les raisons de votre présence dans la capitale française ? Mademoiselle y vit.
« Paris a son histoire, vous aussi non ? »
Monika n'a jamais gagné de prix d'honneur, Nobel ou autre. Elle ne s'est jamais retrouvée sous les feux des projecteurs pour avoir fait quoi que ce soit, et globalement, on peut dire que son histoire n'a rien de particulier. Elle est même plutôt commune, et il n'y a aucun fait qui fera parler de Monika Ricci longtemps après sa mort. Mais si vous tenez tout de même à l'entendre, la voilà :
C'est par un bel après-midi de printemps qu'elle vint au monde. Premier -et dernier- enfant de Monsieur et Madame Ricci, elle fait tout le bonheur de ses parents, et mène une enfance calme et tranquille, recevant autant d'amour que nécessaire. Si la petite peut faire quelques plaintes, ce sera au sujet du réveil beaucoup trop matinal -sa mère étant institutrice, elles se rendaient avant tout le monde à l'école- et de l'absence plus ou moins fréquente de son père -Monsieur étant homme d'affaires, son agenda était plutôt chargé. Non, comme cela a été dit précédemment, il n'y a aucun fait hors du commun pendant l'enfance de Mademoiselle Ricci. C'est vers son adolescence que les choses se compliquent.
En effet, Madame Ricci découvre qu'elle a une maladie, et je ne parle pas d'un gros rhume. Une maladie qui nécessite un traitement de longue durée, dont les résultats ne sont pas garantis et qui coûtent bonbon. La famille fait donc tout ce dont elle est capable pour guérir Mrs Ricci, et dans un premier temps, ça fonctionne. Cependant, par la suite, elle ne répond plus à aucun traitement, et sa fille et son époux sont impuissants. Contrainte à regarder sa mère mourir a petit feu, Monika passe une épreuve difficile qu'elle montrera du doigt comme étant la pire période de sa vie, mais aussi le point tournant où tout a changé.
En effet, quelques années après le décès de sa mère, c'est une toute nouvelle Monika qui refait surface. Celle qui aime la vie, celle qui en profite à fond, qui n'en délaisse pas une seule miette et qui n'a pas peur de se casser les dents. La mort de sa mère a servi de leçon à la jeune femme, et s'il y a bien une chose qui lui fait peur comme rien d'autre, c'est de mourir sans avoir vécu comme elle l'aurait souhaité. Au diable les études ! A l'école, on ne nous apprend rien sur la vie. Que faire des analyses de texte ? Ce ne sont pas elles qui nous apprennent à faire un deuil, à s'en remettre ou à en tirer une morale. Non, la jolie brune croit fermement que pour apprendre, dans la vie, il faut foncer dans le mur. C'est en forgeant qu'on devient forgeron, comme le dit l'expression. Quant à savoir si c'est une bonne ou une mauvaise chose, elle ne prend pas la peine de se poser la question. Du moins, pas jusqu'à ce qu'elle fonce dans un mur qui refuse de s'abattre devant elle... A suivre !
« Et derrière tout ça se cache… »
Fille/Garçon ? F. Age : 18 ans. Exemple de Post - Spoiler:
Sérieusement ? Il avait envie de prendre la fuite. Pas qu'il ait quelque chose à cacher, enfin... Ce n'était pas comme s'il était un tueur en série en fugue, ou alors un psychopathe échappé d'asile. Mais solitaire et taciturne ne rimaient pas avec répondre sans hésiter. Pendant trois mois ! Trois longs mois ! En tout cas, si Judy laissait une impression d'innocence et de pureté, elle était loin d'être stupide ou même naïve. Jasper s'était attendu à ce qu'elle lui demande une boisson, un dessert, une information sur un quelconque étudiant de son année même, pourquoi pas un numéro de téléphone ou un coup de main pour une relation sérieuse. Elle aurait pu lui demander son avis, d'un point de vue masculin, et tellement d'autres choses ! Mais non. Elle voulait envoyer valser tout le mystère qui enveloppait le jeune homme par son caractère réservé, et à vrai dire, elle n'aurait pas pu faire une meilleure demande pour ce faire. Bingo ! Dans le mille, Judy. En même temps, il se voyait mal lui annoncer à ce stade qu'il allait manger ailleurs. Gardant un sourire diplomate, il conserva son silence durant quelques instants pendant lesquels il étudiait la proposition. Décidément, cette fille était réellement bizarre ! En arrivant ici, avec ce qu'il avait envie de lui dire, il était persuadé qu'elle l'aurait pris pour un cinglé. A peine avaient-ils échangé deux mots qu'elle l'avait non seulement mis à l'aise dans la conversation, mais lui avait aussi montré que dans l'originalité et l'audace, on pouvait difficilement faire mieux qu'elle. Lui, qui d'habitude, devinait facilement les grandes lignes de la personnalité de son interlocuteur, il avait bien du mal à la cerner.
« Trois mois. »
La délibération n'était pas terminée. Dans une situation normale, il lui aurait dit qu'elle était dingue, aurait pris son plateau et n'aurait plus jamais mis les pieds à la cantine. Et pourtant, malgré sa raison qui lui hurlait de refuser la proposition, il eut de nouveau un sourire amusé. Il avait peut-être trouvé un moyen d'esquiver la question.
« Tu crois qu'en trois mois, tu auras le temps d'apprendre tout ce qu'il y a à savoir sur moi ? » demanda-t-il en secouant légèrement la tête. « Je me sens presque insulté. »
Ce n'était pas vrai, et elle n'avait qu'à le regarder pour s'en rendre compte elle aussi. D'ailleurs, le regarder, c'était ce qu'elle faisait avec autant d'intensité que lui quelques minutes auparavant. Pour quelqu'un qui voulait se donner en spectacle toute sa vie, ce n'était pas gênant, et puis au fond, ce n'était que la monnaie de sa pièce. Il l'avait bien observée comme si elle était un chef-d'oeuvre artistique. L'échange de regards prit fin à son défi, et en voyant son sourire, il regretta presque aussitôt d'avoir joué les durs. Mais pour celle-là, il n'y eut pas d'hésitation. Après tout, au pire des cas, il risquait une indigestion. Et puis, vu la famine qui s'était abattue sur son estomac, il se sentait capable de manger n'importe quoi. Si elle gagnait, elle voulait une place en premier rang pour sa prochaine pièce. Il la lui aurait même donné comme prix de consolation au cas où elle perdrait. Tiens, pourquoi ne pas remplacer les réponses qu'elle demandait par des places de théâtre pendant trois mois ? Alors qu'il s'apprêtait à proposer l'échange, elle se leva de table. Et lorsqu'elle eut fini sa préparation, il soutint son regard sans même ciller.
« Moi, abandonner ? »
Avec un sourire de triomphe, il prit le drôle de sandwich et mordit dedans sans quitter Judy des yeux. Mais lorsque le goût affreux du mélange se répandit dans sa bouche, il fut bien obligé de fermer les yeux pour pouvoir avaler. C'était à peu près la chose la plus abominable qu'il ait mangé jusque là.
« C'est pas mal du tout, » dit-il, l'ironie flagrante dans sa voix. « Enfin... Ca serait pas mal du tout si on enlevait la choucroute, le chocolat, le ketchup et les frites. »
Il n'allait tout de même pas abandonner. Enfin, probablement que si, il le ferait, mais pas tout de suite. Laissant son sandwich sur son plateau, il concocta son propre mélange à partir de ce qu'il avait devant lui: de la purée, des choux de bruxelles et des brocolis sous une épaisse souverture de ce ketchup qu'elle semblait tellement aimer. Ca ne faisait certainement pas le poids contre son sandwich, mais après tout... Il mordit une fois de plus dans son sandwich avant de froncer le nez.
« Okay, tu gagnes. Mais pour t'assurer la victoire définitive, t'as intérêt à vider ton assiette ! »
Et il sourit à nouveau de ce sourire épanoui qui avait visiblement décidé de maintenir une résidence permanente sur son visage. Du moins, jusqu'à ce que le nom de Noah Fordman soit prononcé. Oh que oui, Jasper le connaissait. Ils n'étaient pas les meilleurs amis du monde, c'était certain... Mais le comportement de Noah ne passait pas inaperçu non plus. En fait, il était même plutôt connu pour être... ben, ce qu'il était.
« Je le connais, oui... Très convaincant dans chacun de ses rôles, » commenta-t-il une fois de plus avec ironie.
A tel point qu'il oublie parfois qu'il n'est plus sur la scène, eut-il envie d'ajouter. Non, il n'allait pas parler plus que cela sur le sujet, sauf si elle décidait que son droit au questionnement commençait tout de suite. Après tout, le fait qu'il n'ait pas refusé pouvait être interprété comme un consentement.
« Tu seras peut-être célèbre sans lui et moi, » ajouta-t-il avec un petit sourire dans une tentative de changement de sujet. Comment avez-vous connu le forum ? Ca fait trop longtemps, je ne sais plus. Commentaire ? Rien à signaler. Code : [M18G18]
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